Que la lumière soit!
Que la lumière soit!
Nous aimerions vous parler d’une expérience propre à renouveler notre zèle pour la prière. Il s’agit là d’un témoignage d’un homme de science N.J Stowell, qui parut il y a quelques années dans différents journaux. Mr STOWELL était
Athée ; il travailla longtemps, cherchant à découvrir certains mystères de la science atomique en y apportant lumière et révélation. A cet effet, il prit parfois des chemins jusque là inconnus et fit des découvertes qui servirent non seulement à la science mais aussi à lui-même, en changeant totalement sa manière de voir et ses opinions. Il écrivit ce qui suit :
« J’étais un athée convaincu, et pensais que Dieu était le produit de la fantaisie de croyants enthousiasmes. Dans notre travail scientifique, nous avions fait des découvertes surprenantes concernant les fonctions du cerveau humain.
Nous avions entre autre découvert que celui-ci est un type particulier de récepteur de radio. Nous en avons cherché la longueur d’onde, et il se trouva qu’il en existait un certain nombre, bien distinctes les unes des autres.
A l’aide d’un appareil, nous voulions découvrir ce qui se passe dans le cerveau d’une personne mourante. L’occasion nous fut donnée de faire ces observations sur une femme croyante qui n’avait plus que quelques heures à vivre. Cette femme était normale à tous points de vue, d’un caractère aimable et gai malgré son état d’extrémité. Nous savions quelle en était à ses derniers moments et elle le savait aussi Il s’agissait d’une personne ayant vécu dans la foi à son Sauveur personnel Jésus – Christ. Un instrument des plus sensibles avait été placé dans sa chambre. Cet appareil devait indiquer ce qui se passerait dans le cerveau de cette femme, pendant les dernières minutes de sa vie. Au dessus de son lit se trouvait un microphone minuscule qui devait percevoir ses dernières paroles, si elle donnait encore signe de vie.
Entre temps, nous nous étions rendus dans la chambre voisine. Nous étions là !
Cinq hommes de science parmi les plus sobre et dont j’étais le plus endurcis.
C’est avec une certaine tension que nous nous tenions devant nos instruments, dans l’attente de ce qui allait se produire.
Sur notre appareil se trouvait un cadran. L’aiguille de l’appareil était sur zéro ; elle pouvait dévier de 500 divisions à droite pour les valeurs positives, et autant à gauche pour les valeurs négatives. Peu de temps auparavant nous avions, avec le même appareil, mesuré la puissance d’émission d’une des stations émettrices les plus fortes des U.S.A. l’aiguille de l’appareil marquait alors 9 divisions.
Les derniers moments de la malade semblaient être arrivés. Tout à coup nous entendîmes qu’elle priait. Elle louait Dieu en disant :
« Je sais que tu es, O Dieu, la seule véritable source de puissance pour les êtres que tu as crées. Je te remercie pour la fidélité avec laquelle tu m’as portée durant toute ma vie, et pour la certitude que j’ai d’être ton enfant. Dans ton amour et dans ta Grâce tu m’as permis de ne pas broncher dans l’épreuve. Je te demande infiniment pardon pour tous mes péchées que tu effaceras par le sang de Jésus, et dans une joie inexprimable je me réjouis d’aller à toi et de te contempler »
Debout devant notre instrument nous étions absolument bouleversés, et les larmes montaient à nos yeux. Nous en oublions presque le but de nos recherches. Alors que la femme continuait à prier, nous entendîmes soudain un bruit métallique sur notre instrument. Quel ne fût pas notre étonnement de voir l’aiguille arrêtée à 500 divisions, continuant à frapper contre la limite qui l’empêchait d’aller plus haut.
Nous avions fait à l’aide de mesures techniques une découverte fantastique : le cerveau d’une femme mourante en relation avec le DIEU VIVANT développait une force 55 fois minimum, plus grande que la puissance d’émission d’un des émetteurs les plus forts des Etats-Unis.
Alors une parole nous revint à l’esprit. Celle du Dr Alexis Carrel porteur du Prix Nobel « La prière est la forme la plus puissante d’énergie productive »
Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la prière d’un être croyant avait été mesurée ; la force de cette prière était au minimum, 55 fois plus intense que celle émise par une des stations les plus puissantes des Etats-Unis.
« C’est à ce moment stratégique que mon athéisme commença à être ébranlé. Je me posai une question « si il y a un Dieu Vivant, ayant la possibilité de recevoir un message qui lui est envoyé par la prière, je suis donc moi aussi devant la face d’un Dieu qui connaît tout. ». le ridicule de mon incrédulité me devint toujours plus évident. Etant droit envers moi-même, je ne pouvais résister à la vérité qui me pénétrait de plus en plus, et je devins un heureux disciple de Jésus, qui pouvait croire en lui comme en mon Sauveur Personnel.
Août 1964